poème d'amour: je suis triste sans toi
Je suis triste sans 2014 - 2015
Tu m’as quitté, tu nous as quittés, j’ai pleuré, nous avons tous pleurés !
Je voulais que tu me reviennes, tous voulaient que tu ne sois jamais allé !
J’ai crié ton nom, dans les sentiers perdus, dans ma chambre !
J’ai invoqué les Dieux, seule, dans la foule, pour toi, je n’avais que des pensées tendres !
J’ai pensé à tous les moments passés ensemble, bons et mauvais !
Tu es parti, tu as disparu, j’ai compris combien je t’aimais !
J’essayais de comprendre pourquoi, je ne pensais qu’à moi !
Je te voulais, je te voulais pour nous, pour tous, pour moi !
J’ai voulu en finir, tant j’avais mal, j’avais de la peine !
Et comme une illumination venue du ciel, j’ai compris
que ça ne valait pas la peine !
On supprime l’être, pas la vie, qui elle continue avec ou sans moi, avec ou sans toi !
J’ai regardé autour de moi pour m’en convaincre !
La nature est si bien faite, qu’elle a fini par me convaincre ! Non tu n’es pas parti, tu ne nous as pas quittés !
Comme dans la nature, tu as germé, tu as poussé, et, tu t’en es allé !
J’ai crié ton nom, dans les sentiers perdus, dans ma chambre !
J’ai invoqué les Dieux, seule, dans la foule, pour toi, je n’avais que des pensées tendres !
J’ai pensé à tous les moments passés ensemble, bons et mauvais !
Je suis triste sans toi |
Je suis triste sans toi
Je me suis faite la promesse de ne pas t’effacer de ma mémoire, jamais !Tu es parti, tu as disparu, j’ai compris combien je t’aimais !
J’essayais de comprendre pourquoi, je ne pensais qu’à moi !
Je te voulais, je te voulais pour nous, pour tous, pour moi !
J’ai voulu en finir, tant j’avais mal, j’avais de la peine !
Et comme une illumination venue du ciel, j’ai compris
que ça ne valait pas la peine !
On supprime l’être, pas la vie, qui elle continue avec ou sans moi, avec ou sans toi !
Je suis triste sans toi
Je sais que tu n’es pas loin, que tu es là près de nous, près de tous, près de moi !J’ai regardé autour de moi pour m’en convaincre !
La nature est si bien faite, qu’elle a fini par me convaincre ! Non tu n’es pas parti, tu ne nous as pas quittés !
Comme dans la nature, tu as germé, tu as poussé, et, tu t’en es allé !
Je suis triste sans toi
Tu es tombé, tu as été fauché, tu as fait les quatre saisons, tu es parti pour revenir prochainement... Saurais-je te reconnaître?Je t’ai aimé, alors, CERTAINEMENT.
>>Arlette Devalois<<
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